Pour Hicham Gaoua, l’habillement est un espace de interaction qui donne une totale liberté d’expression à celui qui les dessine.

Femme portant une abaya et une frimla. Si l'essentiel des vêtements et des accessoires se transforment sous l'influence des modèles andalous, descendants des costumes syriens, il n'en demeure pas moins que le costume féminin de Tlemcen garde des traces de son goé berbère : le pagne, appelé fouta, et le péplum à fibules, appelé melhafa[32].

Ils utilisent des procedures de couture et de modélisme authentiques, mais avec une touche de modernité. Sur la boutique en ligne de l’Atelier les 3 Fleurs, les consumers peuvent découvrir et acheter plusieurs modèles de robes kabyles, tous imaginés et confectionnés par les couturières de l’atelier basé à Rouen.

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La fibule, est ainsi absente de la parure de la Targuia. L'ensemble du costume garde toutefois l'attract d'un drapé grâce au voile qui l'enveloppe. Un pendentif en argent, appelé asarou n'seoul à cause de sa forme de clé, aide à le stabiliser[115].

Par la suite le karakou se réinvente et reste LA tenue de prédilection des algériennes durant les grandes fêtes.

L’Algérie, ayant été un issue de rencontre entre différentes civilisations, a vu le Karakou s’enrichir au gré des influences culturelles extérieures. L’Empire ottoman, par exemple, a laissé une empreinte distinct sur ce vêtement traditionnel, en introduisant le type de casaque ajustée à la taille, qui s’est fondue avec la garde-robe locale.

Lors des fileêtes, elles lui préfèlease cependant une massive ceinture métallique, décorée de volutes gravées et de chaînes terminées par des pendeloques[106].

Depuis déjà fort longtemps, la femme de Tlemcen revêt assez souvent pour sortir, au lieu du haïk, la djellaba féminne, tandis que le ajar dissimulait le visage[39].

Ce sort de vêtement est inspiré de l'Empire Ottoman qui a existé en Algérie pendant une longue période de temps. Même aujourd'hui, ce style de vêtement est encore porté par de nombreuses femmes, pas tous les jours comme avant, mais dans les mariages et la mariée il faut qu’elle le possède pour Tasdira (custom de porter différents vêtements Algériens par la mariée pendant le mariage) .Aussi, El Jaba qui est fait de velours et brodé de fil d'or .Il est d’origine fait à Constantine (Est Algérien). 

Tableau de Jan-Baptist Huysmans au XIXe siècle. Les Algéroises les plus aisées choisissent d'allonger la ghlila non décolletée jusqu'aux chevilles, ce qui devient le caftan d'Alger. La ghlila décolletée à la levantine se cantonne dès lors au rôle de vêtement quotidien, tandis que le caftan s'impose comme un costume de cérémonie[11].

behavior fileéminin traditionnel revêtu à l'situation par de jeunes lycéennes de Blida dans website les années 2000. Cependant, toutes les variétés de vêtements vernaculaires étaient visibles en permanence dans le panorama culturel, soit à travers la télévision, soit à travers les représentations des troupes de danse folklorique, suivant le modèle est-européen[142].

Au lendemain de l'indépendance de l'Algérie, le costume de la capitale rédevice un caraco ajusté et un serouel dziri, typiquement algérois, qui se caractérise par ses longues fentes latérales. Ainsi, quelques décennies ont suffi au costume d'Alger pour opérer un remaniement complet qui aboutit à la création d'une tenue traditionnelle originale et élégante[19].